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Reconstruction du collège Alfred de Vigny à Courbevoie (92)

Programme : Collège 500 + centre sportif
Client : Département Hauts-de-Seine

Equipe : Ylé associé à l'agence Patrick Arotcharen, Betom (TCE), BMF (économiste), EMF (paysagiste), Nobatek (conception environnementale), Alma Consulting (cuisiniste), AIA Management (OPC), Peutz (acousticien), Gayet (CSSI), Geotec (Géotechnique)
 

Surface : 5.084 m²

Budget : 15.2 M € HT

Date : lauréat en 2022 - PC en cours
 

Écologie :  Projet en matériaux biosourcés, label niveau 3 
Cloisonnement béton de chanvre

Favoriser le réemploi des éléments issus de la démolition
E3C1
Bbio projet ≤ Bbiomax RT2012 – 20 %
Cep projet ≤ Cepmax RT2012 – 20%
Besoin de chaleur ≤ 0,6 x Cep projet
Besoins de chauffage de 15kWh/m².an ou puissance de chauffage P ≤ 10 W/m²

Images extérieures : Jeudi Wang
Images ambiances intérieures : Ylé

La restructuration du collège Alfred de Vigny sert des ambitions pédagogiques, s’inscrit dans des volontés environnementales vertueuses et au-delà, il instaure un dialogue avec la ville pour proposer des espaces publics et privés verdoyants et une intégration des volumes et des usages qui se nourrit du contexte, le poursuit et l’améliore.

Il sacrifie au thème fédérateur de la cour de récréation et du préau, héritiers de l’école Jules Ferry, en organisant toute la vie scolaire autour et le long de ces organes de distribution de jeu et de rencontre.

Il propose un enchaînement en Nord-Sud qui voit se succéder le long péristyle curviligne, parvis, hall, préau, vie scolaire et restaurant.

A la cinétique de l’architecture qui accompagne la progression d’un parcours répondent en échos un chapelet végétal d’arbres de hautes tiges et une frondaison buissonnante au contact de sa limite Ouest.

 


Le projet veille à limiter les nuisances sur son environnement immédiat. Il conserve l’ensemble des accès existants, ouvre l‘espace vers la profondeur de la parcelle rue Lambrecht, récupère les alignements et les structures du bâtiment d’enseignement rue Lefevre. Il compose, à l’angle des rues Lefevre et Lambrecht, une sculpture urbaine qui se nourrit d’objets hétéroclites, comme le chalet romantique, ou la façade de l’immeuble de logement sans chercher à écraser le contexte de son statut d’équipement public.

Il propose une volumétrie en cascade du Nord vers le Sud pour ouvrir les perspectives vers le soleil sur la rue Lefevre et la cour de récréation.

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